Des rives d’espoirs

J'ai longtemps esquivé, les écrits croyants car la peur de l'esquisse maladroite des redites Carambars faisaient de mes écrits un bateaux coulant coulé sans bord et sans barre.

Croire c'est se rassurer c'est susurrer à l'inconnu de ne pas arriver.

Certains confondent et pensent s'assurer mais c’est saturer, s'attirer, sacrifier du temps, de l’argent, pour pas d'intérêt.

Moi.

Avant les rites, j'hérite de rixes riches de rimes rhum et de verres vides.

Dés. Jeux de hasard, sans tricheurs et autres roublards.

Qui au mépris de règles raclent les tréfonds des océans, le trait faux et le néant, le trépas est si géant.

Je sais les sacrifices d'antan actifs,

D'anciens démons, Danton, d'acier tonton comptine, tentant de

Dompter l'esprit critique, coucou marine, carcasse câline

Rapace d'un vieux virus appelé Céline.

Juste les croyances sont nombreuses et les raccourcis aussi.

Pas de mal, pas de bien, pourtant tant de conflits.

Toujours pour le partie qui acceptent qu’on le charrie.

Faut dire aussi que je suis plus du côté rire, que du côté tordant je pense ainsi à Charlie.

Attend, attend, qu'est-ce-que je fais,

Faut faire plus simple, plus Sain, plus fin, plus humble.

Les religions et les croyances sont de tout temps,

De tant de gens, d’adultes et même d’enfants.

Difficile de ne pas croire quand,

Les incidents, les accidents

S'abattent sur toi quotidiennement.

Sans en vivre on ne peut comprendre

Qu’il faut nommer, chérir cet être de la chance

Car avoir de l’espoir ce n’est pas juste une croyance

C’est bien plus que cela, c’est enfin pouvoir prétendre

A une vie un peu meilleur lorsque l’on est au plus bas

Et cet amour suprême, rien, ni personne ne l'enlèvera

C’est un monde nouveau, pour sortir de son chez soi ;

C’est une flamme dans le cœur, pour oublier le froid ;

Qui dit, si dieu le veut, pour chacune des prochaines fois

Qui nous délivre de la peur, de nos peines et de nos croix.