Chapitre 7 : Envie
- Orian Bessin
- 8 févr. 2020
- 1 min de lecture
Dernière mise à jour : 4 déc. 2024
L'envie est brûlante mais douce, je tente puisqu'il faut tenter C'était maintenant, c'était attenté. Moi même surpris par la course de mes mains sur ton corps, Mes mains brûlantes sur une silhouette diamant et d'or. Mes mains fondent, dans ton ventre, sur ton dos. Mes mains se glissent, se parcourent sur ta peau. Elle est chaude et froide, courbée, cabossée, elle est parfois hiver, mais davantage été. Ma bouche dessine, descend, sur ton cou. Je sais que tu aimes, je t'embrasse et j'entends ton pouls. Qui accélère encore, et encore, alors je me baisse et je m'échoue, Sur ton cœur que j'écoute tout contre ma joue.
Hummmmmmmmmmm. Ho. Hummmmmmmmmmm. Ho.
...
Ahahah, Ouhouh, Ahahaha, Humm.
La chaleur s'adoucit, pour laisser place à la rosé couleur baisé. J'ai pour moi ta main petite et potelée, chaude et humide, le poing fermé Sur mon faible torse, tremblant, d'être à tes côtés Ta main qui s'ouvre pour me caresser, Du bouts des doigts, comme le ferait : Un doux vent frais d'été.
Ce poème raconte une scène d'amour, celui de mon premier avec ma première. Je voulais en faire mon je t'aime moi non plus mais ça n'a rien à voir. Il est plus mignon je trouve.
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