Chapitre 18 : Je vole avec Ceyanou
- Orian Bessin
- 16 mars 2020
- 1 min de lecture
Dernière mise à jour : 4 déc. 2024
La journée se termine, mais pour nous elle continue, Et tant pis pour le soleil qui n'aura pas connu, Ton rire enchanté, et les courses folles de deux ivrognes Qui auprès d'une balançoire se découvraient cigognes
Ton cri qui dans la nuit, orage et nous éclaire Ses éclats qui nous font luire, et me permettent de voir Dans ses minutes particulières, ton sourire et ton regard
Heureux, bon, content, satisfait, béat, joyeux, enchanté, comblé, radieux, ravi. Mais beau surtout, Que tu es belle quand tu ris.
Puis tout reprend, à la vitesse de la lumière On s'envole tout en sautant, courant Et nos poumons se remplissent d'air On se voit décoller, plus limités par notre élan
Je vole avec ma petite sœur. Les joues rosies candy, candeur.
Aéro-balançoire pour deux héros balancés, Dans le vaste imaginaire, que l'on s'était créé.
Ce texte raconte le plaisir que j'avais à jouer avec ma petite sœur au fond du jardin ou nous avons grandi. Nous nous étions créer tout un monde. Le nôtre.
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