Chapitre 35 : Parallèle para-temps
- Orian Bessin
- 27 oct. 2023
- 1 min de lecture
Bleue ciel, ciel bleue, banc gris de sable
De sable le grain, le vent, le bruit
L'état major inébranlable
Le regard fixe, les ordres s'écrient
Dans le silence le plus fatal,
Soldats patientent qu'arrivent les spahis
Du ciel au loin partout vrombit
Les graves s'affrontent, par vague piano arrive l'ennemi
Et sans abri sans bouclier à ne pouvoir même sourciller
Tout droit, trop droit, tremulent les mains
Au dos plaquées, trébuche les brins
De bruine, de pleurs, de fin du temps
Pour le futur, ces nouvelles eaux, ces larmes de joie et paravents

Commentaires