Chapitre 33 : Chronique d'un poète
- Orian Bessin
- 18 juin 2023
- 2 min de lecture
Dernière mise à jour : 20 juin 2023
Le gout de l'ancre
Sur une mer de page blanche et bleutée, il entre;
Voila, qu'il s'offre déjà,
Les contours mystérieux d'un pronom
Qui dévoile à votre imaginaire ses limites, son abandon.
Presqu’île, langue de terre se rattache par celle-ci
Au monde et à leurs océans de nuages
Dont il se sait la lecture illisible,
Pour lui qui ne vit que d'écrits et de trucages,
De méthodes sans cesse répétées, à défaire l'impossible
Substance enluminée, qui parcours son décor et ses êtres aimés;
Qu'il courtise de comprendre et de voir, sans lui même y arriver.
Alors à corps perdu, à peindre haleine
A décrire, à détendre, à détruire, à défendre
Contre lui-même et ses hasards recrachés
En climat-météo pour toujours commencer
Il s'échine à écrire et s'harasse à changer
Une des feuilles de mer en étoile de couleur
Et qu'un peu moins encore, l'invisible chaleur n'échappe à son cœur.
Petit jeu : Réaliser un poème facile
1) Premier vers :
Commencez par décrire avec précision un lieu choisi - ce sera votre décor - Il est fait de détails, de couleurs et de textures, indiquez-les au mieux.
2) Second vers :
Vous pouvez désormais introduire l'action. Elle se passe dans un cadre particulier décrivez le. Sans idée originale le climat peut faire office de cadre.
3) Troisième vers :
Décrivez les effets de l'actions sur votre corps, en les liant au cadre choisit.
4) Quatrième vers :
Annoncez la réaction d’autrui des suites de votre action.
5) Cinquième vers :
Replongez désormais au cœur de l'action, à ses fins exploitez les virgules et tout les synonymes possibles pour faire faire avancer l'action.
6) Sixième vers :
Décrivez les effets de ses actions sur vos sens et ceux d'autrui.
7) Septième et Huitième vers :
Concluez votre récit par deux vers qui laissent a l'imagination du lecteur sa fin rêvée.
_Essayer de faire quelques rimes, si elles ne viennent pas, c'est pas grave_
1) Des barres d'immeubles récemment construit laissant dans l'air une odeur de peinture et de béton
2) Je cours balle au pied, pied au gazon
3) Je transpire a chaude goutte et la joie qui infuse mon corps transparaît dans le ballon
4) Autour autrui tous surpris, malgré les tacles et les défenses à l'unissons
5) Bien qu'on m'assaille, me charge, me cogne, je passe, je glisse avance rayonne.
6) Ma concentration tout comme ma joie éclatent, se jouent des tours, du roi, ma vue s’aiguise, mon souffle grogne
7) D'un coup tout seul, je me réveil
8) Le but marqué j'ai plus sommeil.
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